La Saucony Peregrine. Voici une chaussure que je connais bien, avec laquelle je cours depuis longtemps… mais avec laquelle j’ai aussi connu quelques désillusions ces dernières années.
Une relation ancienne… mais un peu compliquée
Mon histoire avec la Peregrine remonte à loin. Je crois que j’ai commencé avec la version 5 ou 6, il y a plus de dix ans. J’en ai beaucoup porté, je les ai beaucoup aimés aussi, jusqu’à ce que ça se ternisse un peu. Depuis deux ou trois versions, je suis franchement déçu, et notamment à cause de la semelle extérieure. La gomme utilisée jusqu’à la Peregrine 14 – que j’ai encore dans le bureau – était, pour moi, une catastrophe. Sur pavés mouillés ou roche humide, c’était glissades assurées. Un vrai souci de sécurité. C’est d’ailleurs ce qui m’avait poussé à ne plus vraiment parler de ce modèle ces derniers temps.